David Cameron, Premier ministre britannique, avait déclaré en janvier 2015, après les attentats de Paris, que les services de renseignement ne pouvaient faire leur travail (en d’autres termes : nous sauver des individus voulant nous anéantir) que s’ils avaient un accès complet aux communications des individus qui planifient des attaques.
Selon ce même politicien, aucun moyen de communication ne devrait être imperméable aux services de renseignement.
En juillet dernier, le directeur du FBI s’était exprimé devant deux comités du Sénat américain concernant le chiffrement bout à bout (end-to-end encryption).
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